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  • Lorsque l'on assiste à une soirée étudiante, personne ne veut être celui qui ne boit pas. Pourtant, un jour ça devient notre tour et notre vision de l'alcool change, définitivement. meltyCampus vous propose un top 4 des phénomènes de soirée.

    Les blagues aux bourrés 

    "Qui est Sam ce soir ?" Sam, c'est celui qui ne boit pas, celui qui raccompagne tout le monde à la maison, en vie. Sam, il a la classe, il s'occupe des autres et c'est le seul à ne pas faire n'importe quoi. Cela peut être gênant pour les plus buveurs, sauf que Sam sait des choses que les autres ne savent pas... Sans l'alcool, la fête perd le voile qu'elle utilise pour se cacher et se révèle différente. Un jour vous jouerez le rôle de Sam et vous verrez comment l'alcool affecte la condition humaine. Pendant la Grand Guerre, les poilus buvaient pour se donner du courage. Aujourd'hui, l'alcool ne donne pas que du courage, il donne des résultats catastrophiques ! Heureusement que Sam est là pour limiter les dégâts et vous raconter ce qu'il voit !

    Pires photos soirées étudiantes 

    Le lendemain ils ont tout oublié...L'AMI DE SOIRÉE

    "Tout le monde aime tout le monde." Vous sortez souvent de soirée avec cette idée en tête : tout le monde était trop sympa. Ce n'est pas nécessairement faux, il faut bien dire que les "relations" se créent facilement en soirée. Les hommes pensent même que l'alcool les rend beau ! En réalité, vous rencontrez l'ami de la sœur du cousin de votre beau-frère éloigné par la grande tante de votre père. Votre cerveau opère de cette manière : "c'est incroyable ! J'ai un point commun totalement insignifiant avec cette personne, je pense qu'il va devenir mon meilleur ami !" Puis, vous vous rendez compte le lendemain qu'il vous a collé toute la soirée et qu'il sentait le vomi…

    Les blagues aux bourrésLes blagues aux bourrés  Les rois du campus - On vient à plusieurs en soirée !  VOIR LES 8 PHOTOS DE L'ARTICLES BLAGUES AUX BOURRÉS

    C'est peut-être la chose la plus drôle à faire quand on est sobre. Convaincre facilement ses amis d'aller draguer pour les voir se prendre des vents. La règle est de lui montrer une fille du doigt et de lui donner une réplique du genre : "Chérie, si tu étais un sandwich à McDo, tu serais le McNifique !". Le travail se fait tout seul, vous pouvez savourer votre réussite diabolique avec un bol de chips et un sirop à l'eau. Il faut bien s'amuser quand tout le monde n'est pas assez net pour tenir debout, non ? Peu importe, ils ne s'en souviendront plus le lendemain.

    "Chérie, si tu étais un sandwich à McDo, tu serais le McNifique !""Chérie, si tu étais un sandwich à McDo, tu serais le McNifique !"  Les rois du campus - Autre style de blague !  VOIR LES 8 PHOTOS DE L'ARTICLELES FILLES OU GARÇONS QUI PLOMBENT L'AMBIANCE

    Certaines filles pensent trouver l'homme de leur vie en soirée, ce n'est vraiment pas l'endroit… Dans une fête, on voit toujours (quand on est sobre) une fille (ou un garçon) seule au bar. Elle taillade la peluche de son porte-clés avec les ciseaux qu'elle a toujours dans son sac. Pourtant, ce type de femme est aussi sobre que vous. Il y a deux raisons pour trouver ce type de fille en soirée : sa meilleure amie dort avec son meilleur ami, ou alors, cette même meilleure amie est avec une autre amie tombée malade, alors il faut lui tenir les cheveux… Pour l'homme, il n'y a qu'une seule raison : il est ivre et il s'est lancé dans un discours philosophique sur la vie avec lui-même... Ne vous inquiétez pas, ça lui passera, il (ou elle) reprendra le chemin de la piste de danse et un autre (ou une autre) prendra sa place.

    Les trucs que tu découvres en étant sobre à une soirée ! 

    La fille qu'il ne faut pas embêter !LES SECRETS RÉVÉLÉS

    Même si la soirée est naze, occupez-vous ! Le sobre dans une soirée, c'est comme un costume de fantôme à Halloween : il y en a toujours un qui traîne mais on ne se souvient jamais qui c'était. Par contre, vous avez une vision à 100% de vos capacités et l'oreille affûtée. Vous naviguez entre vos amis, collés-serrés avec des personnes que vous ne connaissez pas, et vous écoutez ce que vous ne devriez pas entendre, vous essayez de voir ce qui ne devrait pas être visible. Quoi ? Il faut bien s'amuser non ? C'est comme être un super-héro invisible au milieu des zombies !

    Les secrets vous sont révélés !Les secrets vous sont révélés !

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  • Le site republicain-lorrain.fr publie ce jour un article sur l’utilisation du cannabis à des fins thérapeutiques.
    Il soulage les douleurs et pourrait même un jour combattre le cancer : le tabou qui entoure encore largement le cannabis thérapeutique est en passe d’être levé, veulent croire ses partisans, médecins et patients.
    « Actuellement, les patients qui ont recours au cannabis ne comprennent pas pourquoi c’est illégal. Ils en prennent car rien d’autre ne les soulage. Heureusement, une porte s’est ouverte, les choses bougent », résume le Dr Patrick Spiess, co-organisateur d’un colloque consacré à cette problématique à la faculté de médecine de Strasbourg. La porte en question est un décret paru en juin dernier au Journal officiel , et qui lève un obstacle à l’éventuelle autorisation en France de remèdes à base de dérivés du cannabis. Le Sativex, déjà disponible dans plusieurs autres pays européens et préconisé pour soulager les souffrances de la sclérose en plaques, pourrait ainsi prochainement être délivré en France.
    Un seul dérivé cannabinoïde, le Marinol (dronabinol), peut actuellement être prescrit pour des douleurs chroniques dans le cadre d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU), une procédure complexe réservée à des pathologies pour lesquelles il n’existe pas de traitement approprié. Mais les médecins hésitent à le prescrire, alors qu’une polémique sur la légalisation du cannabis « récréatif » brouille en France le débat sur le cannabis médical.

    Un rôle contre le cancer ?
    Philippe B., un patient alsacien de 38 ans en chaise roulante, fume du cannabis depuis 17 ans pour soulager des spasmes musculaires très invalidants. Il avoue qu’il « préférerait prendre des comprimés » si ceux-ci étaient disponibles en pharmacie. D’autant que, lorsqu’on fume illégalement des « pétards », « on n’est jamais tranquille », souligne-t-il. « Cinq pétards par jour, ça me soulage beaucoup », témoigne-t-il, assurant n’avoir « pas plus d’accoutumance qu’avec un médicament classique ». En outre, « je mène une vie normale : on n’est pas obligé d’être défoncé pour se soigner », ironise-t-il.
    Douleurs, anxiété, nausées, spasmes musculaires : l’efficacité du cannabis commence à être reconnue pour ces indications. Mais un domaine d’utilisation autrement plus vaste se profile, grâce à des recherches mettant en évidence le rôle potentiel des composants du cannabis dans la lutte contre le cancer. Une étude clinique doit ainsi prochainement débuter au Royaume-Uni sur des patients atteints de tumeurs au cerveau, associant dérivés cannabinoïdes et médicaments anticancéreux classiques. Aux Etats-Unis, des chercheurs ont également mis en évidence l’action du cannabidiol (CBD), l’un des composants du cannabis) pour ralentir ou empêcher la prolifération de métastases sur des souris.
    En attendant la concrétisation de ces espoirs, plusieurs pays ont déjà légalisé le cannabis thérapeutique : Pays-Bas, Espagne, Italie, Allemagne, Royaume-Uni, Canada, Australie et depuis le mois d’avril dernier, la République tchèque. La France reste encore à la traine !


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  • Parce qu’ils veulent dépenser moins, s’enivrer rapidement ou se mettre dans l’ambiance, les jeunes adultes commencent souvent à boire avant même de sortir dans les établissements publics. Ces épisodes de « predrinking* » conduisent à boire presque deux fois plus au cours de la soirée et augmentent de façon significative les risques liés à la consommation d’alcool.

    On sait déjà que les conséquences de la consommation d’alcool chez les jeunes peuvent être graves, aussi bien pour leur santé que pour leur sécurité et celle des autres. En s’intéressant à leurs trajectoires de consommation durant la soirée - combien de verres, où, à quelle heure?- les chercheurs d’Addiction Suisse ont mis le doigt sur des éléments importants, notamment en matière de prévention.

    Boire avant de sortir: une phase de consommation-clé

    L’étude, financée par le Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS), est basée sur l’analyse du déroulement de 1441 soirées. Dans un tiers des soirées, les 20-26 ans boivent avant de sortir dans les établissements publics. 
    « Faire des économies » en buvant avant d’aller dans les bars ou les boîtes de nuit est une raison fréquemment évoquée par les jeunes dans la littérature scientifique sur la consommation d’alcool. Pourtant, l’étude d’Addiction Suisse montre que cela ne les conduit pas vraiment à boire moins par la suite ! En effet, les participant-e-s ont consommé en moyenne 4,2 verres par soirée passée exclusivement dans un établissement public, alors qu’ils en ont consommé 7,1 lors d’une soirée commencée sur leur canapé ou dans la rue, soit près du double ! 

    L’épisode d’alcoolisation avant de sortir a donc un impact majeur sur le nombre de boissons alcooliques consommées. Et les conséquences sont préoccupantes: en s’ajoutant à la quantité consommée au cours d’une virée nocturne plutôt qu’en s’y substituant, le « predrinking » est significativement associé à des excès de consommation et à une augmentation des risques liés, tels que pertes de connaissance, bagarres ou vandalisme. Ce mode de consommation est donc une cible de prévention essentielle.

    Des conséquences pour la prévention

    Le lien établi par l’étude d’Addiction Suisse entre le fait de boire avant de sortir et les excès ponctuels de consommation plaide notamment en faveur de mesures structurelles:

    • L’accès aux boissons alcooliques dans les commerces devrait ainsi être interdit en soirée pour éviter l’achat spontané avant d’accéder aux établissements publics.
    • Des mesures sur les prix de vente constituent également un frein à la consommation. L’impact des prix sur la consommation a été démontré par des dizaines d’études.

    Le travail de sensibilisation doit également tenir compte des trajectoires de consommation établies. L’étude suggère que le changement de lieux en cours de soirée implique souvent une augmentation de la consommation, comme si on remettait inconsciemment les compteurs à zéro en entrant dans un bar ou une discothèque. Il faut ainsi inciter les noctambules à compter le nombre de boissons consommées, et ce dès la première bière sortie du frigo pour entamer le week-end, afin de mieux gérer leur consommation sur l’ensemble de la soirée.
    La sensibilisation des responsables d’établissements publics apparait également comme une priorité: en laissant les personnes en état d’ébriété accéder à leurs établissements, ils prennent d’autant plus de risques de se voir exposés à des épisodes de consommation excessive et à leurs conséquences.

    Où, quand, combien ? Des techniques d’enquête en constante amélioration

    C’est grâce à une méthode d’enquête novatrice en temps réel que le « predrinking » a révélé son impact sur la consommation d’alcool des jeunes et les problèmes liés. 
    Dans les enquêtes traditionnelles, on demande aux personnes interrogées d’évaluer a posteriori leur consommation globale au cours d’une soirée. Dans cette étude au contraire, les participant-e-s ont rempli toutes les heures un questionnaire depuis leur téléphone portable informant du lieu et du nombre de boissons consommées durant la dernière heure. En suivant les participant-e-s en lieux et en temps réels avec une précision inégalée dans les études sur la consommation d’alcool, l’établissement de ces trajectoires de consommation a été rendu possible ; et l’impact du fait de boire avant de sortir mis au jour. 

    *le « predrinking » regroupe toutes les occasions de consommer de l’alcool acheté dans des commerces de détail avant de sortir dans un établissement public.


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  • L'égalité des sexe ne passe pas par la boisson. Des chercheurs ont mis en évidence que l'alcool serait plus néfaste pour les femmes que pour les hommes

    Les ados et leur consommation d’alcool : "On relâche la pression..."

    La surconsommation d'alcool est mauvaise pour la santé, la cause est entendue. Mais ce qu'on ne savait pas, c'est que devant cette surconsommation, les hommes et les femmes ne sont pas égaux. Selon le Professeur François Paille du CHU de Vandoeuvre-lès-Nancy, cité par nos confrères du"Figaro"les femmes sont "particulièrement vulnérables" aux effets de l'alcool. En cause, leur"équipement enzymatique" qui dégraderait moins efficacement l'alcool que celui des hommes. Et comme si cela ne suffisait pas, le "binge drinking" (ou alcoolisation rapide et massive) leur seraient également plus néfastes. Non seulement, remarque le Professeur Mickaël Naassila (d'Amiens), "la dépendance à l'alcool apparaîtraient plus tôt" chez les filles que chez les garçons. Mais on remarque en plus des conséquences neurobiologiques : "Lorsque l'on faisait réaliser des tâches d'apprentissage à des « binge drinkers » (ce qui correspond à des prises supérieures à quatre verres en une occasion), les filles présentaient davantage dedéficits que les garçons", ajoute le Pr Naassila.

    L'alcool plus néfaste pour les femmes que pour les hommesL'égalité des sexe ne passe pas par la boisson. Des chercheurs ont mis en évidence que l'alcool serait plus néfaste pour les femmes que pour le


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